🇫🇷 Oser échouer … oui mais comment ?

Churchill disait « Réussir c’est aller d’échec en échec sans jamais se décourager ».

L’injonction est forte en ces temps de renouveau et de chamboulement, de replacer l’échec, et ce qu’on en fait, comme une étape nécessaire dans l’évolution des personnes, des équipes, des projets, des organisations.

Je ne peux que partager cette vision. Mais que donne ce droit à échouer, si on aborde l’échec comme d’autres choses, c’est à dire comme une étape d’un process, froide avec des to-do list et des meetings de suivi de l’échec et des copils de suivi des meetings de suivi de l’échec ?😗

J’ai assisté à une conférence à l’IFVP (International Forum of Visual Practioners) « Dare to fail gloriously ». Ou comment oser se planter glorieusement.

Quelques apprentissages, que je trouve intéressants à partager :

ℹ️ Toute erreur et tout flop contiennent des informations intéressantes et utiles,

🎚Rien n’est jamais foiré à 100%,

🔦Changer l’éclairage,

de blâmer les autres à prendre sa responsabilité,

de répéter les erreurs à apprendre des erreurs,

de s’attendre à échouer à prendre une attitude positive,

de se limiter au passé à oser prendre de nouveaux risques,

de « je suis un échec » à quelques chose n’a pas marché.

🌿Mais la clé, proposée dans cette conférence, la pépite selon moi, que j’ai cherché à illustrer dans cette fresque visuelle : le chemin. Comment faire ce chemin intérieur libérateur pour être « en capacité » de prendre du recul sur un échec, individuel ou collectif. Il passe par se relier à ses émotions, la colère, la tristesse, l’amertume, le dégout même. Les laisser d’abord traverser, les personnes et les collectifs. Et pour cela, ouvrir des espaces propices à une parole libre et sensible.

Comme dans de nombreux autres aspects de nos vies professionnelle et personnelle, s’ouvrent donc ces questions : si on laissait la place à la vie intérieure ? Si on ouvrait des espaces pour vraiment partager en empathie ce qu’on ressent face à l’échec ? Avant de passer à l’action.

Plus facile à dire qu’à faire ? C’est sûr, mais

1 – On a peut être aussi le droit d’échouer dans notre rapport à l’échec….

2 – @LesGrandsEspaces, nous pouvons vous aider à ouvrir ces espaces, et les tenir, sous forme de cercles de paroles ou de codéveloppement, ou de coaching individuel ou collectif.

3 – C’est surement une condition pour que nos échecs soient une étape sur un chemin de régénération.

@LesGrandsEspaces accompagnent individus et organisations sur le chemin d’une société régénérative, un art de vivre et de faire des affaires compatibles avec le vivant.

Contactez-nous pour en parler.

#LesVertusDeLEchec #Echec #Foirer #SePlanter #SeGameller #DroitALErreur #SociétéRégénérative #LesGrandsEspaces☘️ #RegenerativeLeadership

🇬🇧 Dare to fail … ok but how ?

Churchill said « Success is all about going from failure to failure without losing enthusiasm. »

The call is strong in our times, stamped with renewal and massive disruption, to see failure, or at least what we do with it, as a key step in people’s, teams’, projects’, organisations’ evolution.

I strongly agree with this statement. But how does this call to failure look like, if we deal with it like other topics, ie as a process step, cold, with to-do list, to-do list review meetings and steering comittees to review outcomes of the to-do list review meeting ?

I attended to an IFVP conference (International Forum of Visual Practioners) which was called « dare to fail gloriously ».

Herewith some learnings, that I find useful to share with you  :

ℹ️ Every mistake or flop contains useful information,

🎚Nothing is 100% failed,

🔦Change the spotlight ,

From blaming others to taking responsibility,

From repeating mistakes to learning from them,

From expecting failure to cultivating a positive attitude,

From being limited to the past to daring new risks,

From I am failure to something went wrong.

🌿But the key, as proposed in the conference, that I really liked and wished to illustrate in the sketchnote is : the path. How to open a liberating internal path so as to be in capacity to stepback on our mistakes and failures, collective or personal. It goes through connecting with our emotions, anger, sadness, bitterness, degust even. To let them go through us, as an individual or a collective. To to this, we must open spaces for a free talk and hold the spaces.

As for many other aspects of our lifes, both personal and professional, come those questions : what if we let the space for our internal and emotional lifes ? What if we open spaces to really share empathically what we truly feel after a failure ? Before any action.

Easier said than done. Surely, but 

1 – We could be allowed to fail in our approach to failure…

2 – @LesGrandsEspaces, we can open and hold those spaces for you, secured talking circles, codevelopment circles, individual and collective coachings.

3 – It’s for sure a condition for our failures to be as step on our path to regeneration. That’s worth it.

@LesGrandsEspaces support individuals and organisations on their path to regenerative society, a lifestyle and a way to do business that is life-afffirming.

Feel free to contact us to know more

#FailureIsTheNewBlack #Failure #Mistake  #RegenerativeSociety #LesGrandsEspaces☘️ #RegenerativeLeadership

Adresse 13 rue des Couteliers, 31000 Toulouse
E-mail contact@lesgrandsespaces.earth
Téléphone 06 43 93 73 79

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